
Kay ! Lettres à un poète disparu
Conception Matthieu Verdeil et Lamine Diagne
Entrée libre sur réservation par mail à billetterie@theatredeshalles.com à partir du 19 septembre
Frappés par l’actualité des écrits de Claude McKay, figure phare de la Harlem Renaissance des années 20, Lamine Diagne et Matthieu Verdeil convoquent jazz, slam et images, pour proposer une réécriture musicale et visuelle, écho contemporain au poète noir, activiste, auteur voyageur. Une correspondance posthume entre Lamine Diagne et Claude McKay, un siècle d’écart mais des questions intemporelles : l’identité, l’altérité, l’ailleurs… le vivre ensemble et cette mobilité de l’humanité qui, à l’image de l’écrivain, devient une manière d’habiter le monde… Un hommage vibrant à l’œuvre, la vie et les engagements du romancier et poète jamaïcain, en format intime et nomade.
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Conception Matthieu Verdeil et Lamine Diagne
Texte, dramaturgie, lecture récit Lamine Diagne
Avec la participation exceptionnelle de Mike Ladd
Musiciens Lamine Diagne, Wim Welker, Christophe Lincontang, Ben Rando, Jérémi Martinez, création vidéo Matthieu Verdeil, création lumière Thibault Gagneux, scénographie Éric Massua, ingénierie du son Orphée Szinetar, accompagnement artistique Maxime Vagner, Odile Lecour, Franck Cassenti, Raphael Imbert, Helene Lee
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Dans le cadre de la 6èmeédition de la Tournée Mosaïque, initiée par la Région Sud et portée par son opérateur culturel Arsud. Avec le soutien de La Fondation Stin ‘Akri
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PRODUCTIONS
Production déléguée : PRODIG’ART
Coproductions : Festival Marseille Jazz des 5 Continents, A7 production, L’Énelle – Compagnie Lamine Diagne, La Maison du Chant
Soutiens : Ministère de la Culture / D.R.A.C. Provence-Alpes-Côte d’Azur, la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, Département des Bouches-du-Rhône, Ville de Marseille, SPEDIDAM, Marseille Jazz des Cinq Continents, Musée d’Histoire de Marseille, Ville de Martigues, conservatoire Pablo Picasso de Martigues, label Maison Bleue, éditions Héliotropismes, AMI, Le Cri du Port, Ambassade des États-Unis.
Mécénat : Fondation Stin Akri, Fondation pour la mémoire de l’esclavage